Samedi 13 Septembre – EVRY – PARIS – NAPLES – SORRENTE
Dans un car confortable qui nous emmène à Orly Sud, nous sommes au nombre de 38 à partir pour un voyage d’une semaine en Baie de Naples et Côte Almafitaine. La durée de notre vol est de 2h15.
A notre arrivée à l’aéroport International de Naples Capodichino, nous sommes accueillis par Marie-Hélène, qui nous invite à prendre la route pour notre séjour à l’hôtel Eliseo Park’s, de Sant’Agnello de Sorrente. Hôtel entièrement rénové, au design coloré, situé dans un oasis de sérénité à environ 30 minutes à pied du centre de Sorrente.
En cours de route, elle nous fait goûter un morceau de gâteau traditionnel appelé « la sfogliatella ».
Dimanche 14 Septembre – POMPEÏ et SORRENTE
8h.15 – Par un temps très agréable, départ en autocar avec Magali, notre guide accompagnatrice pour la semaine.
Le Vésuve s’élève à 1 281 mètres d’altitude dans la région italienne de Campanie, au-dessus de la baie de Naples (en mer Tyrrhénienne), à environ neuf kilomètres à l’est du cœur de la deuxième plus grande agglomération du pays avec quatre millions d’habitants. Il se situe au sud de la chaîne principale des Apennins.
La topographie du volcan est constituée de deux éléments : le premier est le mont Somma au nord, entourant partiellement le cône actuel, vestige de l’ancien édifice plus élevé, détruit par l’éruption de 79, et le second est le cône du Vésuve (Gran Cono). Pour cette raison, le volcan est aussi appelé Somma Vésuve. Le cratère du Vésuve mesure 2 kms et est actuellement en sommeil mais il est surveillé 24 h sur 24
A – POMPEÏ
Nous arrivons à Pompéï vers 9 heures et il y a déjà beaucoup de monde (3.000.000 de visiteurs pendant la saison). La visite durera environ 2 heures et c’est Octavia, guide officiel de sites historiques, qui nous fait découvrir cette ville fantôme qui garde pour l’éternité toute la vie d’une matinée d’août 79 après J.C. ; ses rues, forums, villas, temples.
Malgré un signe précurseur en l’an 62, l’éruption du Vésuve, le 24 aout de l’an 79 qui a duré 3 jours, a enseveli les deux villes romaines florissantes de Pompéi et d’Herculanum Tous les habitants sont morts asphyxiés d’une part et brûlés ensuite par la coulée de lave d’environ 400°.
Depuis le milieu du XVIIIème siècle, elles ont été progressivement mises à jour et rendues accessibles au public.
Nous entrons dans le site par la Porte Marina et une grande émotion (pour ma part) et une envie de partager toutes les merveilleuses découvertes, notamment l’amphithéâtre utilisé pour spectacles de gladiateurs.
Les Thermes avec le frigidarium et ses vestiaires. Au centre, nous découvrons, dans une sorte de caisson en verre, un moulage en plâtre d’un corps figé pour toujours au moment de la tragédie.
Nous terminons notre visite par le Forum constitué d’une grande place rectangulaire orientée en direction du Nord-Sud et fermée au Nord par le Capitolium, autrefois temple de Jupiter.
Nous reprenons notre car en direction de Sorrente pour aller déjeuner et ensuite visite de la Ville.
B – SORRENTE
Merveilleusement située au-dessus du Golfe de Naples, au cœur de vergers d’orangers et de citronniers, Sorrente qui compte environ 17.000 habitants, constitue un point de départ idéal pour explorer la côte. Piazza Tasso, la place principale, où se dresse la statue de Tasse, porte le nom de ce poète. Le climat doux et sec pour la grande partie de l’année fait de la Péninsule la destination idéale pour toutes les saisons. La légende attribue l’origine de son nom aux mythiques sirènes (mi-femmes, mi-poissons) qui poussaient les marins à s’échouer contre les rochers.
Le centre historique montre encore le tracé perpendiculaire des rues d’origine romaine, les hauteurs sont entourées du mur du XVIème. Le Dôme, reconstruit au XVème siècle, a une façade néo-gothique, et l’Eglise de Saint François d’Assise a un grand cloître du XIVè.
Nous continuons notre promenade dans le centre historique et nous nous arrêtons pour déguster le fameux limoncello (liqueur de citron, à boire glacée).
Nous faisons une halte au Belvédère situé derrière le muséo Correale di Terranova, pour admirer la vue magnifique.
En fin de soirée, nous reprenons notre car pour rentrer à l’hôtel et se reposer de cette belle journée.
Lundi 15 Septembre – CAPRI
8h.30 – Départ en autocar jusqu’au port où nous embarquons à bord d’un bateau pour l’Ile de Capri
(30 mn de traversée)
Colonisée par les grecs et ensuite par les romains, cette île fut le lieu de villégiature privilégié des empereurs Auguste et de Tibère. C’est une véritable île jardin, sur un rocher à la végétation luxuriante entourée d’une mer turquoise et où ses dédales de ruelles blanches sont propices à la flânerie.
Il y a deux communes sur l’île, séparées par une route en lacet : CAPRI et ANACAPRI.
- La première est la plus connue, on accoste en contrebas à sa Marina Grande, c’est la plus touristique.
- La seconde est plus authentique, des bus très fréquents la relient à sa voisine, où nous visiterons la Villa San Michele.
A l’arrivée de Capri, nous embarquons cette fois dans une grande barque pour faire le demi-tour de l’Ile, nous admirons toutes ces magnifiques falaises et grottes de toutes sortes. En passant, nous apercevons un grand rocher sur lequel une statue nous salue de la main. Au gré de notre ballade, nous découvrons également de nombreuses propriétés et hôtels nichés sur les hauteurs des falaises.
Enfin, nous admirons les fameux Faraglioni devenus l’emblème de l’île. Les Faraglioni constituent la continuation naturelle de la pointe au sud-est de l’île. Le premier, de 111 m de hauteur, est relié à la côte par un petit isthme sur lequel s’ouvre la Grotta di Tragara. Les deux autres que l’érosion marine a séparés de la côte s’élèvent respectivement à 81 et à 105 m de hauteur.
LEGENDE : On raconte qu’en passant au centre de l’un des rochers (en forme d’arche) les couples doivent s’embrasser et continueront à vivre encore pendant 
50 ans.
Il y a plus de 10.000 touristes par jour, pendant la saison et Capri dispose de 80 hôtels de luxe ainsi que des pensions familiales. Les moyens de transport tels que bus et taxis sont fabriqués sur mesure pour leur permettre de passer sans problème dans les nombreuses routes en lacet.
Un funiculaire existe également reliant la Marina Grande à Capri.
Retour au port en repassant devant notre statue à qui nous faisons un signe d’au revoir.
Nous reprenons notre car en direction d’ANACAPRI pour le déjeuner et pour une visite à la Villa San Michele. Son nom perpétue celui du vieux couvent construit sur les ruines d’un palais de Tibère acheté par l’écrivain et médecin suédois Axel MUNTHE (médecin officiel de la Famille Royale Suédoise), qui la transforma en habitation.
SA DEVISE : « OSEZ – VOULOIR – SAVOIR – SE TAIRE »
Nous poursuivons notre visite par la découverte à pied de la Piazzetta de Capri, la plus fréquentée et centre historique. Puis, visite des jardins d’Auguste avec en toile de fond les célèbres rochers des Faraglioni. Encore une très belle journée, toujours sous le soleil.
Mardi 16 Septembre – PAESTUM(site inscrit au patrimoine de l’Unesco)
8h.30 – Départ en autocar pour Paestum, situé au sud du Golfe de Salerne à environ 90 kms. Région de cultures très riches et terrain plat.
Paestum est une ville exemple où l’on vit le mieux, le taux de délinquance est le plus bas. Cette ville est connue pour son site grec parfaitement conservé et très calme ; un peu oublié des touristes.
La ville prospéra jusqu’au 1er siècle de notre ère, puis déclina peu à peu. Dépeuplée par la malaria, elle fut détruite par les Sarrasins vers 877.
Mais, plus qu’à ces vicissitudes, Paestum, dont les roses furent chantées par Virgile et Horace, doit sa célébrité actuelle aux temples élevés par les colons grecs. De plus, elle montre admirablement comment s’est faite l’hellénisation des populations italiennes.
Nous commençons notre journée par une visite dans une exploitation agricole d’élevage de bufflonne (800 kg) non agressive. A l’arrivée, nous apercevons une étable d’environ 500 m² pour 300 animaux.
Les bufflonnes produisent du lait destiné à la fabrication de la mozzarella. Pour faire 1 kg de mozzarella, il faut 4 litres de lait.
Après un déjeuner léger, nous reprenons notre car, pour nous rendre au Musée National où nous attend Nunzio, notre guide local. Nous découvrons la salle de l’Héraion, la salle du Temple de Cérès, la salle des sanctuaires, la tombe du 
plongeur découverte en 1968 a bouleversé le monde archéologique de notre siècle. Un plongeur, nu, se lance du haut d’un tremplin, dans une nappe d’eau bleue, cette représentation veut nous faire penser au détachement de cette vie et au passage vers l’au-delà.
Nous quittons le Musée pour nous rendre sur le site archéologique grec où nous découvrons le Temple de Xerès édifié en l’an 500 avant J.C., de 33 m de long et le plus petit, dédié à la déesse Athéna, fille de Zeus.
Un peu plus loin et au gré de notre visite, avec les explications très instructives de notre guide, divers autres vestiges notamment les Temples de Poséidon, Neptune et la Basilique
Nous bénéficions d’une soirée au Théâtre Tasso situé sur la Piazza San Antonio pour assister à un très beau spectacle « Sorrento Musical » fait de chansons napolitaines et de danses typiques de la région. Spectacle haut en couleur, animé, de très belles voix, danseurs et danseuses formidables. Nous avons tous passé une excellente soirée en chantant des airs connus du folklore napolitain ; notamment « Funicula » qui a un rapport avec le funiculaire du Vésuve (autrefois) et aujourd’hui détruit.
Mercredi 17 Septembre – LA COTE ALMAFITAINE
8h – Départ en autocar pour la découverte de la Côte Almafitaine ; environ 60 kms et 2.000 virages (on ne les a pas comptés !!!) et une des plus belles excursions avec une vue imprenable sur la route légendaire entre la bohème Positano et Amalfi et de faciliter l’accès aux capitales de Naples à Amalfi. Classée au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1997, la Côte Amalfitaine déploie, de Positano à Vietri sul Mare, une succession de petites villes comme les grains d’un chapelet.
Les maisons en terrasses avec des jardins en Pergolla s’accrochent dans les anfractuosités de la côte et les villages de pêcheurs cèdent la place à d’élégantes stations balnéaires, que l’on atteint par une route de corniche. De temps à autre, un vieux palace, parfois un peu délabré, surplombe une mer superbe. Bref, un paysage 100 % carte postale. La côte amalfitaine s’étend au sud de la péninsule sorrentine, éblouit avec ses grottes mystérieuses, ses falaises escarpées et ses baies miroitantes.
Nous faisons une petite halte à Positano, la perle de la côte. Très célèbre pour la mode style bohème (un mélange de lin et de coton) et pour sa céramique.
Les routes sont si étroites que seuls les bus de 10 m sont autorisés à parcourir la côte de Sorrente à Amalfi mais uniquement dans un sens. Seules les navettes de la SITA peuvent emprunter la route dans les deux sens. Nous continuons notre route pour Amalfi, petite ville de 5000 habitants qui fut la plus antique république maritime et qui a donné son nom à toute la côte environnante.
Arrivés à Amalfi, une promenade en bateau d’environ 1 heure nous attend pour un aperçu de la beauté de la côte, vue de la mer ; un véritable joyau pour les yeux.
La majeure partie de la côte est construite en lignes verticales, les quartiers sont reliés par des innombrables étapes qui grimpent et forment le seul moyen de communication. Des centaines de marches mènent à des maisons plus en hauteur, aux églises et aux couvents. Parfois, les charges les plus lourdes sont transportées à dos de mules.
Anecdote : A un certain âge, les femmes sont mises au régime pour, qu’au moment de leur décès, les porteurs aient plus de facilité pour monter à pied jusqu’au cimetière.
Retour au port et nous poursuivons notre visite par la Cathédrale et son cloître, 
appelé le Cloître du Paradis.
La Cathédrale fut construite pendant le IX siècle sur un haut et raide escalier d’une cinquantaine de marches environ. La décoration baroque remonte au début du XVIIIème siècle : elle est vraiment somptueuse.
A droite du transept, il y a la Chapelle des reliques ou de la Réconciliation : ici sont gardées les reliques de beaucoup de Saints, amenées à Amalfi avec le corps de Saint André.
Le Cloître Du Paradis : ancien cimetière des familles riches d’Amalfi, a été réalisé entre 1266 et 1268. Il y a eu beaucoup de pillages, notamment en 1943.
Dans ce petit cloître, nous pouvons admirer le charme de particuliers arcs croisés, soutenus par 120 petites colonnes très orientales. Le long de la galerie, on peut voir un petit jardin où sont exposés plusieurs sarcophages.
A l’intérieur du Dôme, on trouve la colossale statue en bronze de Saint André et dans la crypte sa dépouille mortelle transférée de Constantinople en 1206. Des ossements, suinte une substance huileuse nommée « manne de Saint André » à laquelle on attribue des vertus miraculeuses.
Après cette magnifique visite, nous partons déjeuner dans un restaurant à SCALA, près de RAVELLO.
Visite de la Villa RUFOLO (XIIIè siècle)
La Villa RUFOLO est actuellement le siège de l’institut de recherches pour la restauration des monuments et pour l’urbanisme des villes anciennes.
Le jardin, flanqué de sa grande tour, constitue le lieu le plus adapté et le plus suggestif pour écouter des concerts à ciel ouvert où chaque été la terrasse de la Villa a le ciel comme coupole et la mer comme parterre. En 1997, un concert a réuni trois voix sublimes (Pavarotti, Domingo et Carreras)
Jeudi 18 Septembre – NAPLES
8h.30 – Départ en autocar pour la visite de Naples situé à environ 53 kms.
Naples la romantique, à deux heures au sud de Rome, est la plus grande ville du sud de l’Italie. Dotée de certains des meilleurs opéras et théâtres du monde, elle est souvent comparée à un musée à ciel ouvert en raison de ses nombreuses statues et monuments historiques.
Naples est une ville d’Italie, capitale de la province homonyme et de la région de Campanie. Avec 956.739 habitants en 2012, c’est la troisième commune italienne pour sa population, après Rome et Milan. Cette ville est très surprenante avec ses quartiers hauts et ses quartiers pauvres plus sales, plus de délinquance, les maisons sont moins entretenues. Il y a beaucoup de différences.
Les gens sont très croyants, très souriants, malins et ont le sens de la débrouille.
DICTON : VIVRE ET LAISSER VIVRE.
Ils ont un caractère joyeux, ils parlent avec les mains et le dialecte napolitain qui est conservé est un mélange de plusieurs langues (Espagnol, Français, Italien et Arabe) ; on retrouve beaucoup de mots français et espagnols.
Nous arrivons à Naples et commençons notre visite par le Centre Monumental avec la Piazza del Plebiscito (Place du Plébiscite) interdite à la circulation et complètement remaniée. Elle se présente comme un véritable salon à ciel ouvert.
Ensuite, nous nous dirigeons en direction de la GALERIA UMBERTO I (Galerie Humbert 1er, Roi d’Italie) réalisée entre 1887 et 1890 dans le style néo renaissance. L’intérieur se présente sous la forme d’une croix octogonale. Le sol en marbres polychromes est décoré, au centre, par un grand dessin circulaire qui reproduit les signes du zodiaque et une boussole indiquant les points cardinaux. La galerie abrite un bar et d’élégants magasins.
Nous reprenons notre car pour aller déjeuner et nous passons devant le CASTEL NUOVO (Château Neuf) qui fut construit à la demande de Charles d’Anjou. Il fut appelé « neuf » pour le distinguer des autres châteaux de la ville.
On raconte que lors de fouilles, furent retrouvés des restes de crocodiles du Nil !!!!!
Nous nous arrêtons dans une trattoria pour déguster la vraie pizza napolitaine, la pizza Margherita (bien meilleure que Pizza Hut !!!)
Après avoir bien déjeuné, nous partons pour une visite à pied du vieux Naples avec ses ruelles étroites où circulent, à double sens, de nombreux scooters et autres.
Cloître Sainte Claire et Eglise
Citadelle religieuse datant de 1310 à 1328 ; construite par Humbert 1er d’Anjou selon la volonté de sa femme. Très endommagée par les bombardements de la dernière guerre (Août 1943), l’église qui avait subi de multiples transformations, fut réparée et ramenée à son style d’origine.
L’église devient le Panthéon des Rois de Naples. Il existe une dizaine de chapelles renfermant des sépultures royales.
Derrière l’église se trouve le Chœur des Clarisses, véritable joyau d’architecture, décoré de magnifiques céramiques. Ces céramiques sont décorées de fruits et de fleurs. Sur les bancs du cloître sont représentés des scènes de vie quotidienne.
Pour sauvegarder toute cette beauté, il nous était interdit de s’assoir sur les bancs, ni même s’adosser aux différentes colonnes.
Nous visitons la Chapelle SANSEVERO ; Magali a insisté pour l’inclure à notre programme.
Cette chapelle fut construite dans la première moitié du XVIème siècle par le Prince Don Paolo Sangro di Sansevero, puis restaurée au XVIIIème siècle par le Prince Raimondo. Elle est 
considérée comme un joyau de l’art et un des monuments les plus représentatifs de l’architecture Napolitaine.
Au centre, la superbe sculpture qui a conféré la célébrité à la chapelle : « Le Christ voilé » de SAMMARTINO.
Cette œuvre est un véritable prodige de technique pour la façon extraordinaire avec laquelle l’auteur réussit à rendre l’image de la souffrance qu’il communique à travers le suaire recouvrant le corps du Christ.
Ensuite, nous nous rendons dans la crypte où sont conservées deux machines anatomiques du XVIIIème siècle. Il s’agit de deux corps momifiés d’un homme et d’une femme enceinte dont les veines et les artères sont demeurées intactes. La tradition populaire veut que ces deux corps aient été l’objet d’expériences pour Raimondo, homme de sciences mais aussi engoué de magie et d’ésotérisme.
En passant par le port, nous apercevons le Château de l’œuf (XIIe – XVIIe siècle).
Vendredi 19 Septembre – SORENTE
Nous avons droit à une journée libre pour pouvoir nous reposer, faire des derniers achats, faire des visites personnelles soit à Sorrente ou ailleurs. Certains ont profité de la piscine.
Samedi 20 Septembre – SORRENTE – NAPLES – PARIS – EVRY
Après le petit déjeuner, nous descendons tous nos bagages à la réception pour libérer les chambres.
Vers 10h.30, c’est avec Marie-Hélène que nous terminons notre magnifique voyage.
Nous partons en autocar pour les collines de Sorrente. Nous allons visiter une petite exploitation agricole familiale. Nous faisons connaissance avec la Famille MARCHANO qui assure la gestion des terres ; ils ne sont que locataires.
Il y a de moins en moins de personnes qui veulent s’occuper de la terre. La récolte des citrons a lieu en juin. C’est une région où il y a beaucoup plus d’oranges mais on peut greffer les arbres avec des zestes de citron et l’on obtient sur un même arbre : citron et orange.
Les olives, elles, sont récoltées Fin Octobre/Début Novembre. Tout se fait à la main et il faut beaucoup de main-d’œuvre. Les olives tombent dans les filets, sont mises en caisses et puis triées. Les caisses sont emmenées au pressoir où l’on obtient de l’huile extra vierge.
Nous assistons ensuite à la fabrication de la mozzarella puis au cours de cuisine pour celle de la pizza ; nous avons eu quatre volontaires qui se sont bien débrouillés.
Bravo à Alain, Joël, Yolande, Angélina ainsi qu’à Valentina qui ont joué le jeu.
Après un copieux déjeuner, nous avons repris la route en direction de l’aéroport ; notre vol étant à 19h.45.
En arrivant à l’aéroport, toujours par une forte chaleur, il a fallu attendre que le vol s’affiche sur les panneaux pour connaître le numéro du guichet d’enregistrement.
Premier guichet, blocage informatique.
Traversée de l’aéroport pour accéder au deuxième guichet, altercation très vive avec un groupe qui nous dépassait. Nous avons perdu au moins 1 heure ½ avant de pouvoir enfin se faire enregistrer à notre tour ; bien sûr, l’heure de décollage était dépassée, mais nous avons finalement réussi à embarquer avec 1h20 de retard.
Au final, nous sommes arrivés à Orly à 23h.10, pour retrouver l’autocar qui nous a ramenés à Evry où nous avons pu, enfin, rentrer chez nous.
Un grand MERCI également à Yvette pour ce fabuleux voyage et pour son organisation ainsi qu’à l’URE.
Monique HAULOY